L’accountability est une mesure de la capacité des individus à prendre la responsabilité de leurs actions. En français on pourra parler de responsabilisation ou redevabilité. Pour reprendre l’origine « comptable » du terme anglo-saxon on pourra même parler de « ce dont chacun est comptable ». Dans l’entreprise, cette notion est souvent négative et mal comprise car cette comptabilité doit fonctionner à tous les échelons. Pour permettre à chacun de comprendre ses responsabilités et sa contribution dans l’entreprise. Ce qui a un effet positif sur la performance, la motivation, la fidélisation des talents, la créativité et l’innovation.
D’où l’importance de développer en entreprise une culture de la responsabilisation qui ne consiste pas à « chercher des coupables » en cas de problème mais travailler ensemble à trouver des solutions. Pour favoriser cette culture, cela prend des méthodes de travail qui clarifient les objectifs, les dates butoir des projets, et le partage de retours (positifs et négatifs) au sein des équipes.
Vous trouverez dans l’article que nous avons sélectionné plus de conseils de management pour instiller cette culture de la responsabilisation. Il a été publié sur le site de nTask, un logiciel de gestion des tâches et rendez-vous. Parce que pour fluidifier les échanges au sein d’une équipe il faut aussi une part de structuration, avec des outils qui permettront de visualiser et automatiser le rythme des échanges.
(exemple de visualisation des tâches d’une équipe avec nTask)
Sources : https://www.ntaskmanager.com/blog/accountability-in-workplace/ et https://www.hbrfrance.fr/chroniques-experts/2020/01/28925-liberer-la-puissance-des-collaborateurs-grace-au-management-constitutionnel/
En complément, notre article « Dépasser les limites des outils de collaboration avec une charte d’utilisation ».
Car si vous lisez régulièrement la veille Inyulface, vous savez déjà que ce ne sont pas les outils qui font la culture d’entreprise. Ce sont les experts humains et les bonnes méthodes organisationnelles (notamment les méthodes agiles), soutenus par les outils. Chez Inyulface, nous utilisons l’outil de travail collaboratif Jira, dans lequel nous partageons l’avancée de nos projets (nos flux de travail ou workflow) dans un tableau Kanban (avec les tâches à faire, en cours, en revue, en attente et terminées).
